15. Alexis GRAEF

Avis exprimé par Carte T

 

Je suis fortement intéressé par le projet.

Je possède un Bac Pro en Pilotage de ligne de production ainsi qu’un BTS en Usinage.

14. Salem CHADLI

Premier constat : un sac plastique met 450 ans pour une dégradation totale, et jusqu’à 1 000 ans pour une bouteille d’eau. Second constat : seuls 9% des déchets plastiques sont recyclés dans le monde, tandis que 50% sont mis en décharge, 19% sont incinérés et 22% échappent aux systèmes de gestion des déchets.
PARKES permettra de créer un plastique 100% recyclé et recyclable à l’infini, plastique très demandé par les grandes entreprises, qui doivent faire face à des normes environnementales toujours plus exigeantes. Cette nouvelle technologie de «  »dépolymérisation à basse température et sans ajout de pression » » permettra aussi de traiter des déchets habituellement enfouis ou incinérés.
La construction de l’usine permettre aussi d’économiser, chaque année, 360.000 tonnes de CO2. En effet, au lieu d’utiliser des produits pétroliers, nos futurs pulls et bouteilles d’eau seront fabriqués avec ce plastique presque flambant neuf. Par ailleurs, sur notre territoire, avec la fermeture des mines, beaucoup d’emplois avaient disparu.
Alors si le département de la Moselle, et tout particulièrement notre communauté d’agglomération de Saint-Avold-Synergie peut devenir LA référence européenne en terme du recyclage de plastiques, ce projet doit pouvoir aller jusqu’au bout !

13. Bernard GUNDALL

Une activité non polluante développée sur une zone qui a toujours été dédiée à l’industrie, prenant le relais de la période « mines de charbon ».
Une activité tournée vers le développement durable, le recyclage et le respect de la planète.
Une activité qui va générer de l’emploi dans le respect des riverains et sous contrôle d’administrations sérieuses.
Une activité développée par un conglomérat expert dans son domaine et de réputation mondiale.
Je supporte activement ce projet et donne un avis favorable.

12. Nicole MAGUIN

J’apporte un avis favorable au projet de mise en place du projet d’installation d’unités de préparation de matières plastiques et de recyclage par dépolymérisation du PET. Cela va dans le sens de la politique du recyclage des plastiques en créant une boucle d’économie circulaire. Les solutions apportées, développées et financées par des entreprises spécialisées dans la gestion et la valorisation des déchets apportent ainsi une solution régionale, nationale et européenne visant à répondre à ces problématiques. J’ai cru comprendre que le projet répondait également aux objectifs du Plan Régional de Prévention et de Gestion des Déchets (PRPGD) ainsi que la démarche d’économie circulaire mise en place par les collectivités territoriales.

11. Sylvain KREBS

Après tant de souffrance, de dévalorisation, de fermeture, de perte d’emploi dans notre si cher bassin minier, c’est une chance de pouvoir accueillir un projet aussi novateur et porteur pour l’avenir de la région.
C’est un investissement sur le long terme pour préserver l’état de notre planète.
C’est une première mondiale
C’est un groupe connu et reconnu (Suez) qui porte le projet
Le projet est en adéquation avec les objectifs de décarbonation.
Il n’artificialise pas les sols en s’installant sur l’ancienne cokerie.
Les risques sont maitrisés avec une plateforme chimique astreinte à la directive SEVESO
Il s’intègre parfaitement avec les synergies de Chemesis
Il est créateur de nombreux emplois directs et indirects et va redynamiser la région
Il contribuera aux efforts de limitation de la remontée des eaux souterraines

10. Flavien MATTLINGER

Le projet d’usine de recyclage par dépolymérisation, qui apparait comme une solution complémentaire au recyclage mécanique, est une bonne nouvelle pour l’emploi et le développement économique de la région. Ce projet ambitieux contribuera, à son échelle, à la transition vers une économie circulaire, nécessaire à la lutte contre le changement climatique. Il est à souligner que Saint-Avold a terminé en finale du processus de sélection face à une plateforme située non loin de Marseille.

9. Jean Marie BONNETIER

Quelques réflexions concernant le projet Parkes et de sa concertation ,
S’agit-il vraiment d’une concertation ?
La définition de ce mot (dictionnaire Larousse) indique : des accords pour s’entendre…ou encore … « une pratique qui consiste à faire précéder une décision d’une consultation des partis concernés » !
Oui ,il y a concertation entre les promoteurs du projet , les représentants de l’État, les élus mais on oublie les riverains directs de Carling et l’Hôpital qui eux bien que consultés sont placés ou seront placés devant le fait accompli puisque les décisions finales sont déjà prises en amont de cette « concertation » :le début des travaux des deux parties de la constructions de l’usine se fera en 2025 et la mise en fonction en 2027 et cela quels que soient les résultats de l’enquête publique qui se déroulera au second semestre de 2024.On peut parler ici de malhonnêteté intellectuelle !
Il est légitime de s’attendre au pire concernant les nuisances liées au fonctionnement d’une telle installation- rejets atmosphériques, aqueux et terrestres- au vu de ces grandes manœuvres de communications puisque les promoteurs eux-mêmes n’en connaissent pas ni la nature exacte ni les quantités !
Pourquoi cette concertation alors qu’il n’y a pas eu de débat public concernant l’implantation d’une I.C.P.E classée Seveso Seuil Haut (Quaron-Stockmeier France) à 100 mètres des premières habitations de Carling et L’Hôpital ?
On parle également d’un moindre rejet de dioxyde de carbone, gaz à effet de serre, en favorisant le recyclage du P.E.T par rapport à la production de ce polymère à partir du pétrole ; oui bien sûr c’est exact !
Mais il faut relativiser ce moindre rejet de CO2 par cette usine de recyclage du PET en comparant ce bénéfice avec les rejets totaux de cette molécule sur la plateforme. On a oublié que la réouverture de la centrale électrique E. Huchet (la fermeture des centrales à charbon est reportée à 2027) a nécessité l’importation de charbon venant de l’hémisphère sud transporté par voie maritime jusqu’au port de Rotterdam puis acheminement par camion jusqu’à Carling : bonjour les émissions du CO2 !
Si le dioxyde de carbone est un gaz à effet de serre ,il faut savoir que toute production d’énergie mécanique dispersent dans l’atmosphère de l’énergie thermique (1kWh d’énergie mécanique produite est accompagné d’environ 2 kWh d’énergie thermique dissipée dans l’atmosphère qui se réchauffe) ;or les lois de la thermodynamique montrent que l’augmentation de sa température entraine une augmentation de la concentration de vapeur d’eau .Or la vapeur d’eau et un puissant gaz à effet de serre au moins aussi important que le dioxyde de carbone ou le méthane .
Beaucoup d’inconnus subsistent quant aux rejets dans l’environnement de cette installation qui sera classée type Seveso, en particulier les rejets aqueux après traitement par la station finale dont on ne sait si celle-ci est conçue pour piéger ces nouvelles molécules avant déversement dans la Merle déjà fortement polluée et qui d’après les directives européennes devrait redevenir propre avant 2027 comme tous les cours d’eau européens !!!!
Il est donc prématuré d’engager une véritable concertation avec les riverains !
Jean Marie Bonnetier, Président de l’ADELP (Association de Défense de l’Environnement et Lutte contre la Pollution en Moselle-Est), Docteur en Ecotoxicité des systèmes

8. Grazyna RODRIGUES

À partir du moment où un projet industriel permet de contribuer au développement et à la « sanctuarisation » du tissu industriel local tout en favorisant les synergies avec les entreprises locales, on ne peut que se féliciter d’un tel projet. La création d’emplois, 1 000 à 1 200 tout de même, est aussi une bonne nouvelle pour le territoire.

7. Thierry HASSER

450 millions d’investissement, des acteurs industriels venants de France, du Canada et de Corée du Sud, leaders dans leur secteur respectif. Au-delà de tous les aspects techniques du dossier, PARKES est une vitrine pour le rayonnement mondial de notre région, une chance pour notre territoire ! Je valide ce dossier.

6. Alain LAVALLIERE

PARKES à la particularité d’apporter les réponses aux défis à venir :
– la problématique des plastiques (une sérieuse question à résoudre)
– les enjeux socio-économiques-écologiques très significatifs (emplois ; collecte, traitement, recyclage)
– la synergie avec les orientations sociétales et politiques, nationale, européenne (planification écologique, European Green Deal)
– la sécurité de volume à traiter apportée par la proximité des gisements issus des Régions Grand Est et Hauts-de-France, mais également d’Allemagne et éventuellement du Nord de l’Europe (Belgique et Royaume-Uni entre autres)
À soutenir donc sans réserve. À réaliser sans hésitations. PARKES s’inscrit dans le temps présent et celui à venir.

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